Cover Mein Corona TagebuchOtto Brändli hat seit Februar 2020 ein Corona-Tagebuch geschrieben und jetzt liegt es in gedruckter Form vor: seine Gedanken über Bücher, Politik und Philosophie und natürlich auch über seine Überlegungen zu Covid.
In der Internet Buchhandlung seiner Frau Therese, auf www.buchland.ch kann es zum Preis von Fr. 30.00 plus Porto Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. werden.

Otto Brändli has published his Corona-diary since February 2020. It shows not only his thoughts about the Covid- pandemic but as well his ideas about books, politics and philosophy.
It can be ordered from the internet-bookstore of his wife Therese on www.buchland.ch. Just click on Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. to get it for Fr. 30.00 plus postage.

 

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE: pdfAlly-Science_2019_COMMUNIQUE_PRESSE.20190430.pdf137.22 kB

Grâce à l’application «Ally Science» déjà largement utilisée par les personnes allergiques, des données en temps réel sur la concentration pollinique sont pour la première fois disponibles en Suisse. 

L’application «Ally Science» déjà largement utilisée offre aux personnes allergiques non seulement des informations sur la charge de pollen, mais nouvellement aussi un rapport sur la progression des symptômes ainsi qu’une interrogation plus précise des symptômes. Depuis peu des données en temps réel sur la concentration pollinique sont disponibles à Bienne et à Lucerne. D’autres régions doivent suivre.

 

L’application «Ally Science» a été lancée en avril 2018 par la Haute école spécialisée bernoise (BFH) et l’Hôpital universitaire de Zürich (USZ) comme pièce maîtresse de la plus grande étude sur le pollen en Suisse. L’application offre dorénavant de nouvelles fonctions. Dont les plus importantes dues à l’appareil de mesure Poleno de la start-up lucernoise Swisens. Il recueille la concentration pollinique locale actuelle des importantes variétés de pollens dans l’air. Un grand pas en avant: la méthode de mesure utilisée jusqu’à présent reposait sur l’identification et le comptage manuels des pollens et les résultats des mesures n’étaient donc disponibles que quelques jours plus tard

L’application «Ally Science» révèle dans un premier temps combien et quels pollens flottent actuellement dans l’air dans les villes de Bienne et Lucerne où un appareil Poleno a été installé. Sur la base des tests réalisés à ce jour, le CEO de Swisens Erny Niederberger est convaincu «que les appareils fourniront des données en temps réel de très bonne qualité». L’application affiche les données sur une carte qui montre également les régions dans lesquelles les utilisateurs documentent actuellement des symptômes via l’application. C’est facile et rapide à faire, il suffit d’effleurer l’application du journal des allergies. Pour préciser l’analyse des symptômes, on enregistre nouvellement si les troubles apparaissent dans un espace extérieur ou intérieur. La carte permet aux personnes allergiques de décider si elles veulent prendre des mesures préventives. 

Les utilisateurs de l’application bénéficient dorénavant aussi d’un rapport sur la progression des symptômes qui peut être exporté sous forme de PDF pour la consultation médicale. Un affichage de la progression tout au long de l’année est disponible à cet effet. Ceux qui ont fourni des données à l’application en 2018 déjà peuvent voir une deuxième courbe qui illustre la progression de l’année précédente, ce qui s’avère très utile pour une éventuelle consultation médicale en vue de recommandations thérapeutiques. De plus un lien mène directement vers les conseils destinés aux personnes allergiques au pollen sur l’application de la fondation aha! Centre d’Allergie Suisse.

En 2020, il est prévu d’offrir à d’autres régions des données en temps réel sur le pollen ainsi qu’une alerte au pollen individuelle. Une raison de plus d’utiliser désormais l’application «Ally Science». En effet plus le nombre de personnes allergiques qui enregistrent leurs symptômes sera élevé, «plus les informations du système d’alerte seront détaillées», explique le Prof. Serge Bignens, responsable de l’Institut d’Informatique médicale de la BFH.

 

«Ally Science» – Étude sur le pollen avec et en faveur des personnes allergiques  Le projet d’étude suisse «Ally Science» est basé sur la participation de personnes souffrant de troubles allergiques. L’application «Ally Science», disponible en cinq langues, leur permet d’enregistrer leurs symptômes. Les données sont stockées sur la plate-forme MIDATA sécurisée, définie par l’abonné, et sont incluses de manière anonyme dans l’étude sur le pollen. Au cours de la saison pollinique 2018, environ 8000 personnes ont fourni plus de 24'000 informations, par ex. sur la fréquence de certains symptômes. Au cours de la deuxième phase qui a débuté, la prise en compte des données en temps réel sur le pollen permet d’analyser les corrélations entre les symptômes enregistrés et les pollens effectivement présents. Le but est de développer des systèmes d’alerte au pollen et d’améliorer les conseils et les thérapies.

 

Infos, photos et téléchargement «Ally Science»-App: www.allyscience.ch  Contacts pour questions et interviews:  

«Ally Science»-App et plate-forme MIDATA: Prof. Serge Bignens, Institut d’Informatique médicale I4MI, Haute école spécialisée bernoise BFH, Bienne, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.,  T +41 (0)32 321 67 01 

Étude sur les allergies: Prof. Peter Schmid-Grendelmeier, service d’allergologie, clinique dermatologique, Hôpital universitaire Zürich, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. , T +41 (0)44 255 86 20

Mesurage du pollen en temps réel: Erny Niederberger, Swisens AG, Lucerne, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., T +41 (0)79 761 97 34   

«Ally Science» est possible grâce aux partenaires de projet suivants:

Medienmitteilung: pdfSwiss-TB-Award-2018.pdf87.13 kB29/03/2019, 12:43

Die Schweizerische Stiftung für Tuberkuloseforschung vergibt seit 2002 jedes Jahr den mit CHF 10'000 dotierten Swiss TB Award für herausragende Arbeiten von Schweizer Forschenden. Die diesjährigen Preisträgerinnen sind Frau Kathrin Zürcher und Frau Marie Ballif vom ISPM in Bern mit ihrer soeben in der Zeitschrift Lancet publizierten wichtigen Arbeit über die Bedeutung einer korrektiven Testung der Tuberkuloseerreger auf Medikamentenresistenz auf die Behandlungsergebnisse. Dies hat insbesondere bei mehrfachresistenten (MDR) oder gänzlich resistenten (XDR) Tuberkulosekranken einen entscheidenden Einfluss auf ihr Überleben.

The study, which was published just on the World TB Day 2019 in Lancet Infect Dis, resulted from a large collaborative project between the Institute of Social and Preventive Medicine (ISPM) of the University of Bern, the Swiss Tropical and Public Health Institute in Basel and the Institute of Medical Microbiology (Swiss National Center for Mycobacteria) in Zurich.
This project was funded by the Swiss National Science Foundation and the US National Institutes of Health. The overarching aim was to compile a Mycobacterium tuberculosis strain collection from HIV co-infected and HIV negative individuals in eight low- and middle-income countries worldwide, and to study the mechanisms underlying M. tuberculosis drug resistance. We reported on the challenges to diagnose and treat drug-resistant TB in resource-limited settings. Inaccurate drug susceptibility tests (DST) leading to inappropriate treatment contributes to the high mortality associated with drug-resistant TB. Local access to accurate and rapid DST of anti-TB drugs is required to improve outcomes in patients with drug-resistant TB.

Drug susceptibility testing and mortality in patients treated for tuberculosis in high-burden countries: a multi-centre cohort study
Kathrin Zürcher , Marie Ballif, Lukas Fenner, Sonia Borrell, Peter M. Keller, Joachim Gnokoro, Olivier Marcy, Marcel Yotebieng, Lameck Diero, E. Jane Carter,…...
Sebastien Gagneux, Erik C. Böttger and Matthias Egger, on behalf of the
International Epidemiology Databases to Evaluate AIDS consortium
Lancet Infect Dis 2019; 19:298-307

Im ersten Moment sei er etwas pikiert gewesen, sagt der Schweizer Insektenforscher Charles Lienhard. Doch dann habe ihn sein japanischer Kollege davon überzeugt, dass es eine Ehre sei, mit dem Ig-Nobelpreis ausgezeichnet zu werden. Der Preis gilt als «Anti-Nobelpreis» und wird seit 1991 jedes Jahr in einer humoristischen Veranstaltung verliehen, seit 2001 an der Harvard University. Man kann das englische «ignoble» mit «schmachvoll» übersetzen. Aber als Schmach ist die Auszeichnung nicht gedacht. Sie wird für Erkenntnisse verliehen, «die einen erst zum Lachen und dann zum Nachdenken bringen».

Insgesamt wurden dieses Jahr zehn Preise in den Gebieten Physik, Frieden, Wirtschaft, Anatomie, Biologie, Fluiddynamik, Ernährung, Medizin, Kognition und Geburtshilfe verliehen. Bei zwei Preisen waren Schweizer Forscher massgeblich beteiligt. So erhielten Lienhard und seine Kollegen aus Japan und Brasilien den Biologiepreis. Sie hatten gezeigt, dass brasilianische Höhleninsekten der Gattung Neotrogla bezüglicher ihrer Geschlechtsorgane einzigartig sind: Die Weibchen tragen einen Penis und die Männchen eine Vagina. Die Arbeit warf viele Fragen auf und sorgte auch bei Laien für lange Diskussionen. Zum Beispiel darüber, ob ein Weibchen mit einem Penis ein Männchen sei. Für die Wissenschafter war diese Frage klar zu beantworten. Das Weibchen sei dasjenige, das die grösseren Keimzellen, die Eizellen, trage, sagt Lienhard.

 

Didgeridoo-Spielen hilft bei obstruktiver Schlafapnoe

vorschau didgeridoteamAuch der Ig-Friedensnobelpreis geht dieses Jahr an Schweizer. Die Forscher unter der Leitung von Otto Brändli von der Höhenklinik Wald zeigten 2005, dass regelmässiges Didgeridoo-Spielen die Beschwerden von Menschen mit obstruktiver Schlafapnoe verbessert. Sie schnarchten weniger und waren tagsüber weniger müde. Beides dürfte das friedliche Zusammenleben in einer Partnerschaft durchaus fördern. Die obstruktive Schlafapnoe entsteht, wenn die Muskulatur in den oberen Atemwegen im Schlaf erschlafft und die Atmung stört. Das führt zu kurzen Atemaussetzern, auf die jeweils ein lauter Schnarcher folgt, wenn der Schlafende nach Luft ringt.

Nachdem ein Didgeridoo-Lehrer und Patient der Ärzte in der Höhenklinik Wald festgestellt hatte, dass seine Beschwerden durch regelmässiges Didgeridoo-Spielen verschwunden waren, untersuchten die Forscher dies systematisch in einer Studie mit vielen Probanden. Tatsächlich stellten sie eine erhebliche Verbesserung der Beschwerden fest, wenn die Probanden sechs Tage pro Woche 25 Minuten lang spielten. Vermutlich stärke das Training die Muskulatur in den Atemwegen, sagt Brändli.

Im Rahmen einer Show hielt jedes geehrte Team am Donnerstag eine kurze Ansprache – teilweise per Videobotschaft – und bekam eine 10-Billionen-Dollar-Note aus Simbabwe überreicht.

Wie können wir die Lebensqualität von Patienten mit COPD verbessern?

Living Better with COPD | besser Leben mit COPD

Lungenkranke mit COPD, einer der häufigsten Todesursachen in der Schweiz, leiden darunter, dass ihre Krankheit in der Bevölkerung zu wenig bekannt ist oder als selbst verschuldete „Raucherlunge“ bezeichnet wird.

Auch die Luftverschmutzung durch Feinstaub sollte als Ursache bekämpft werden. Dank Früherkennung mit Fragebogen und Lungenfunktionsmessung können die kosteneffizientesten Massnahmen wie Raucherentwöhnung, Inhalationstherapie und selbständiges Körpertraining eine Verbesserung der Lebensqualität bewirken. Mit pulmonalen Rehabilitationsprogrammen kann die Mitarbeit der Patienten, insbesondere zur der Vermeidung von teuren COPD- Exazerbationen, verbessert werden.

Korrespondenzadresse
Dr. Otto Brändli, Hömelstrasse 15, 8636 Wald; Kontakt zu Otto Brändli

swisstb

Medienmitteilung        Download pdfpd_swisstb_award_2017.pdf839.12 KB

 

Der Kampf gegen die Tuberkulose geht weiter

Zusammen mit Aids ist Tuberkulose noch immer die häufigste tödliche Infektionskrankheit weltweit. Die Erforschung neuer Mittel und Wege zur Bekämpfung der Tuberkulose ist nach wie vor von zentraler Bedeutung. Die Schweizerische Stiftung für Tuberkuloseforschung vergibt deshalb auch dieses Jahr den mit CHF 10'000 dotierten swissTB-Award. Die Preisträger, Dr. Paul Murima und Dr. Michael Zimmermann, haben die Stoffwechselregulation des Tuberkulose-Bakteriums erforscht, um neue Therapiemöglichkeiten zu entwickeln. Ein Sonderpreis in der Höhe von CHF 1000 geht an Kathrin Zürcher für die historische Aufarbeitung der Zusammenhänge zwischen der Tuberkulose und den Wohn- und Lebensbedingungen in der Stadt Bern.

„Unsere Arbeit eröffnet die Möglichkeit, die Stoffwechselregulation der Tuberkulose-Bakterien spezifisch zu stören und das könnte in Zukunft zur antibakteriellen Therapie der Krankheit genutzt werden”, fassen Dr. Paul Murima und Dr. Michael Zimmermann ihre Forschungsarbeit zusammen. Diese Arbeit wird aus Anlass des WeltTuberkulose-Tags ausgezeichnet: Die beiden Wissenschaftler erhalten den mit CHF 10'000 dotierten swissTBAward, mit dem die Schweizerische Stiftung für Tuberkuloseforschung seit 2002 die besten Forschungsarbeiten auf dem Gebiet der Tuberkulose auszeichnet.